photo Danse: Debout

Danse: Debout

Danse - Bal - Cabaret, Peinture

Le Fel 12140

Du 18/06/2021 au 19/06/2021

Une danseuse, debout, un peintre et sa toile, face à elle, dans un espace choisi. Comment donner à voir, dans un même temps, dans des espaces qui coexistent et se questionn0nte mutuellement, cette danse in situ, ainsi que le processus pictural qui en témoignerait, qui dialoguerait avec elle. Cette performance se donne pour projet d’interroger le paysage, par la danse et la peinture, de le donner à voir autrement. Comme une mise en lumière par et avec le corps. Comment la danseuses habite cet endroit, est impactée par ce contexte, comment un paysage est danse et danse la personne. Dans la prise d’espace, la « palpation » de terrain, dans un rapport sensible à un environnement, d’une relation aux éléments naturels, architecturaux, à l’humeur du lieu, son histoire… dont émergera la poésie d’une rencontre. Le peintre, en rendre compte, en rendra trace, témoignage, à travers le tableau qui se déroulera sous ses yeux. Se laissera traverser, impacter, impressionner par ce qu’il reçoit de la rencontre de la danseuse et du paysage. 

photo Exposition Photographique

Exposition Photographique

Patrimoine - Culture, Exposition

Saint-Izaire 12480

Du 03/07/2021 au 28/08/2021

Le château de St Izaire, lui-même plein de marques laissées par l'histoire, est apparu comme un endroit idéal pour exposer ses photographies, dans le respect des lieux et en ajoutant à leur mystère. Deux séries sont présentées : SANTA CRUZ (dans la glacière du château) Santa Cruz  est un lieu de rassemblement et de mémoire. Sur un mur, une population migrante des années 60 a laissé ses traces d'exil. Grattées dans la suie, inscrites à la peinture ou gravées dans la pierre ces marques sont les noms de ces hommes ou des lieux qu'ils habitaient. TRACES ET FANTÔMES  (autour des salles d'exposition et du donjon). Une série en noir et blanc où des traces, des créatures et leurs représentations répondent aux murs du château. Graffitis de rois, entrées de repaires et animaux inquiétants ponctuent la visite des salles et du donjon. Beaucoup de clichés évoluent également autour de la paréidolie. Ce phénomène consiste à identifier une forme familière dans un paysage, un nuage, un mur ou tout autre support.

photo Debout, danse et arts - Journées du Patrimoine

Debout, danse et arts - Journées du Patrimoine

Danse - Bal - Cabaret, Conférence - Débat

Mouret 12330

Le 19/09/2021

Dans le cadre de leur proposition Debout paysage en mouvement, Laurence Leyrolles danseuse performeuse de la cie la LLoba et Léopold Scigala artiste plasticien, ont été accueillis en résidence sur notre territoire en juin 2020. Ils ont proposé un travail croisé ayant pour thème et support une des parcelles des communaux du Grand-Mas, paysage naturel géologique, mais aussi lieu d'histoire et patrimonial. L'idée étant d'investir ce lieu en faisant resurgir l'aura, l'essence, la mémoire, en le traversant autrement, par une approche chorégraphique et picturale. Dans le respect du protocole sanitaire en vigueur.

photo Résidence de créations au Moulin des Arts : Leah Desmousseaux

Résidence de créations au Moulin des Arts : Leah Desmousseaux

Nature - Environnement

Saint-Rémy 12200

Du 06/09/2021 au 05/10/2021

La lauréate 2020 du 10e Prix Jeune Création de St-Rémy est accueillie pour une résidence de création d'un mois au Moulin des Arts, où elle pourra travailler librement sur ses projets en cours, et profiter des espaces d'exposition vides pour ses recherches photographiques. Une bourse de création de 1500 euros et un remboursement de frais de production à hauteur de 300 euros lui sont attribués. Traversée par les figures du vestige et du désert, la recherche photographique de Leah Desmousseaux s'inscrit dans une démarche plasticienne et expérimentale autour de l'hybridation des procédés analogiques et digitaux. Sensible à une histoire qui relie l'oeil au geste, elle s'intéresse aux techniques archaïques de la photographie qui, au XIXème siècle, fut porté par le mouvement pictorialiste et par l'esthétique romantique. Elle conçoit le paysage désertique comme une altérité radicale, minérale et sauvage, propice à la réévaluation de l'échelle humaine et des langages que l'Homme établit avec son environnement.